L’actualité récente qui dévoile régulièrement de nouvelles dénonciations démontre que le harcèlement sexuel au travail est l’affaire de tous. Pourtant les victimes, l’employeur mais aussi les collègues de travail ne savent pas toujours comment réagir face à ces situations. Depuis le 1er janvier 2019, le CSE doit désigner parmi ses membres un référent en matière de harcèlement et d’agissements sexistes et quelle que soit la taille de l’entreprise. Mais quel est son rôle ? Le lien d'inscription à cette journée est ici.   CONTEXTE SOCIAL ET REGLEMENTAIRE L’actualité récente qui dévoile régulièrement de nouvelles dénonciations démontre que le harcèlement sexuel au travail est l’affaire de tous. Pourtant les victimes, l’employeur mais aussi les collègues de travail ne savent pas toujours comment réagir face à ces situations. L’article L1153-1 du code du travail stipule qu’aucun salarié ne doit subir des faits (…) assimilés au harcèlement sexuel. Ceci est relayé aussi par le code pénal et la loi Schiappa de 2018 a encore renforcé la lutte contre les violences sexuelles. Depuis le 1er janvier 2019, le CSE doit désigner parmi ses membres un référent en matière de harcèlement et d’agissements sexistes et quelle que soit la taille de l’entreprise. Parallèlement toute entreprise de plus de 250 salariés doit également nommer un référent pour lutter contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes. Mais quel est son rôle ?   OBJECTIFS PEDAGOGIQUES Être capable de citer et expliciter les trois types d’enjeux liés aux violences sexuelles Être capable de repérer la différence entre harcèlement sexuel et les agissements sexistes Être capable de d’expliciter les rôles et responsabilités de chacun dans et hors entreprise Être capable de proposer des mesures concrètes pour prévenir et réagir face à ces situations Être capable de décrire le rôle du CSE et du référent pour lutter contre ces situations … Lire la suite... →